Mi(s)ScellaneaCorine

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Peace (search for)

 

 

 

Un remède à la peau flasque du cafard est pour moi le son. Un soin à se donner tout le temps que l'on peut, entre les pièges de vagues prémonitions et de courtes certitudes.

 

 

Bien sûr, j'écoute de tout. Enfin, j'entends de tout et je prends un peu. Et je danse, ou je pense.

 

 

Plus revêche est le profil du chemin, plus je me réfugie dans ce qui ne se défera jamais, où je ne serai jamais perdue.

C'est hier, c'est maintenant, ces années, où je partais toujours à l’assaut d’un disque avec l’appréhension de m’ennuyer. Il n’en fut jamais rien. Mon étonnement reste radieux qu’aucun album ne m'ait jamais déçu et m'apporte, le temps de son  écoute, plaisir et repos, intacts.

Les parts d'éternité ne sont pas l'apanage des dieux. Je ne vois, ni n'entends un dieu, je vois un homme qui a pris comme les hommes le courant des espaces, beaucoup trop tôt comme tous ceux que l'on aime (tant), au-delà de nos vies en quinconces. Nous y nagerons tous en jour, peut-être après avoir brisé tous nos murs.

 

(Je crois que je peux ôter le mot humour comme catégorie de ce blog !)

 

 

 

Presque 1 semaine réécouté en boucle, après quelques années un peu laissé dans sa pochette. "Sons of the Silent Age" un de mes préférés de 1977 (pour les images, Marc Bolan - dont j'ai parlé au tout début de ce blog avec quelques-unes de ses interprétations - au visage d'ange bouclé incliné, à qui il ne restait que très peu de tempsDéçu mais, plus gai, à noter, le chic d'Iggy Pop en casquette ! Clin d'œil La classe, à Berlin !)

 

 

 

 Thank you, Sir.

 

 

                  

                                                                            



02/10/2019
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