Mi(s)ScellaneaCorine

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Bilan

 

 

« (...) To never take ourselves too seriously »

 

 

 

I do agree ! 

 

 

Et pourquoi pas, une des maximes dominantes de chaque vie ?

 

 

 

 

 

 

Je regarde ce blog, tout jeune de l’été. Il a le poids léger que je pressentais : reposant, reprenant. 

 

Il n'est pas systématique, en prenant en cours une traversée, de remonter pour se laisser conter les premières vues du voyage. Ca arrive, ca m'arrive aussi chez les autres. 

 

Qu'en est-il ici ? Il va de soi que si on s’en tient à un titre, on n’a pas le ton, puisqu’il n’y en a pas ! 

  

Je les survole ce soir et j'en tire un bilan : je ne modifierais absolument rien. Quelques phrases ajoutées, sans excès, juste après des parutions, me suffisent, animée par la volonté d'être au plus près de ce que je ressens (la lettre à Marc Bolan méritait de toutes petites précisions, socialement parlant, sans vraies dentelles, celle du prof/Zweig, parce qu'elle traitait beaucoup d'agonie, sans que le personnage ne se pose véritablement de question, ni n'exprime d'autre certitude que son chagrin et un masochisme, nécessitait bien de sommaires ajouts ; et le rêve, un milligramme de clarté).

De ce blog, je ne changerais pas un sujet et aucunement la manière dont je l’ai traité. Au moins, ça n’est pas une nouvelle question que je me pose. Ouf ! 

 

Il y a de tout. C‘est ce que je voulais avec, majoritairement, de l’humour.

 

Il est extrêmement rare que je prononce, ou énonce cet adjectif, mais je suis fière que l’on puisse se dire « bah celle-là, elle ne va pas nous traumatiser. Du léger, du léger. Quelques autres thèmes, oui, bon, normal. Mais des couillonnades sur les papes, les rats chez soi, les caramels mous, la coupe des ongles de pieds et maintenant, une imitation de Jean Lassalle ! D’où ça part et où elle va, là ?».  

 

Je ne le sais pas moi-même et j’en suis ravie. Jean Lassalle, je ne suis pas prêt d'en regretter l'imitation dans son genre non plus. Je ne pensais pas pouvoir me perdre quelques minutes dans la peau d’un politique, me marrer autant et faire marrer aussi ! 

 

Pas plus que je regrette les sujets plus sérieux. 

 

 

Je suis heureuse d'avoir envie de faire autre chose que relater ce que tout le monde possède : des emmerdements ! C'est musclé, l'emmerdement, vous avez remarqué, hein, vous aussi. Il faudrait penser à lui enlever des protéines dans la soupe. 

 

les emmerdes au régime, les emmerdes au régime !! OUaiiiiiIiis !

Existe-t-il d'ailleurs une anorexie des ennuis dans une existence, du départ à la fin ? Je vous le demande, car je ne connais personne atteint à perpétuité d'une atrophie de contrariétés. Le désagrément a, qui plus est, l'arrogance de ne pas être dépourvu d'imagination. 

 

 

 

Ce blog, c'était juste le moment. Je ne vois pas quand avant, ou comment. 

 

S'il y a une chose que je sais, c'est l'importance de cette temporalité. Il y a toujours une raison dans mon incapacité et ma capacité à avancer. 

 

Je suis de ceux qui pensent qu’il faut parfois se poser, regarder, quand on s'investit un peu, dans tous les domaines, savoir si l'on se donne tort ou raison. Y compris pour ce qui peut sembler anodin, tel un blog. 

Ca ne changera pas la face du monde, mais ça ne démolira rien non plus. 

 

Je vois donc que j’ai confirmé ce que je proposais. Donc, yé continoue et je continuerai.   

 

 

Adiou (jusqu'à la prochaine), c’était Corine dans les états personnels de ma citadinité ;)

 

 

 

 



06/11/2017
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