Dancing with Mr Walken
Eh oui, le sable, une autre dune, une autre porte, la perspective, le regard…
Mais ne nous égarons pas.
C'est une facilité, je le reconnais, mais si le monde est fragile (et nous aussi un peu)
So, let's dance !
Et je prends donc exprès pour vous, comme prof émérite (voyez que je suis brave) le fabuleux
Christopher Walken (j'avais prévenu !)
Il ne faut pas le perdre, celui-là. Pâlot ? Une anémie ? Il faut traiter. On va sensibiliser Trump ("sensibiliser" et "Trump" ? Pourquoi vous vous énervez comme ça ?! Ah, bah ! On n'en est pas à une antinomie près !). Il faut nous le couver comme un monument. Nous, on n'a pas les moyens. Il est pas à nous, tout le monde ne voudra pas.
Si les metteurs en scène voient en un acteur trop souvent le même personnage qu’ils relancent comme des enfants qui ne supportent pas que le jeu soit fini « Christopher, joue-nous le mafieux ! Allez ! » (ce mec-là dans un rôle immonde vous montre qu'il reste un ange blessé dans le monstre. Je n'y crois pas, mais avec lui, c'est crédible), il a néanmoins réussi à s'échapper, de temps en temps. Parmi les plus célèbres et populaires, le rôle du père de Leonardo DiCaprio. dans "Arrête-moi si tu peux". Il était encore plus évident qu'il partage un jour l'affiche avec Johnny Depp (mais en retournant dans le registre d'un fou sadique dans "Meurtre en suspens") .
Son beau visage, si souvent effrayant durant sa carrière, cause une certaine difficulté à lui prêter des talents comiques. Pourtant, les années passant ont de plus en plus fait appel à eux (avec succès, sans quoi je n'en parlerais pas !).
Toute une vie à danser, à jouer, à poursuivre. Mais je papote, alors que je voulais juste lancer l'ambiance.
Une vidéo de punch communicatif, aux différents âges de ses trajectoires.
Il ne ressemble qu'à lui. A mon avis, la dernière exception extraterrestre. Personne ne prend la place de personne, jamais.
Tout simplement époustouflant dans ses registres.
More cowbell ! Il y a du chat dans le danseur qu'il est : la perfection et peu de fatigue inutile, sans attendre le nombre des années.
J'aime bien Travolta en petite dame brune bien potelée (en rose)
Et si vous n'êtes pas pressé et vous ne devriez pas, puisque vous êtes là (!), "Pennies from heaven"/"Tout l'or du ciel" : génial et drôle (vous pouvez passer les 18 premières secondes si vous trouvez que ça sent la praline). Difficile d'être impartial quand on aime les claquettes - une spécialité qu'il retrouve - et les "strip-tease" sur billard, bien sûr! (enfin, les, les, les, mince aidez-moi, quoi Hmmmm ! Les effeuillages !!! Les effeuillages, pour 99,8 % de l'affaire en marcel, je voulais dire !. 'S'agit pas de déloyalement appâter. Non plus) Billard et comptoir pour le même prix, pourquoi voir court !
S'il n'y avait que ça, mais il est extraordinaire !
On ne s'étonne pas de son admiration pour Gene Kelly.
Enjoy it !
Corine
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