Mi(s)ScellaneaCorine

Mi(s)ScellaneaCorine

A l'origine... donc Ps à "un an de blog"

 

Le lendemain de cet anniversaire de blog, je voulais faire un PS.

Un mot m'est spontanément venu à l'esprit et je vous l'ai écrit : merci. Beaucoup. 

 

 

 

 

Si vous me connaissiez tous très bien, vous sauriez c'est un de mes traits comiques, ou un de mes travers, le PS. 

- Parce que j'ai oublié de préciser (classique !),

- qu'on pourrait comprendre que et que ça n'est pas ce que j'ai voulu dire,

- ou que je viens de voir que,

etc ! Très fréquent par mails, lettres.

 

 

 

Un an est donc passé, plus discret qu'un détective privé en cours de filature.

 

Je n'ai pas une seule fois pensé arrêter ce blog, mais j'ai eu un doute prononcé vers le début de 2018 : « mais qu'est-ce que je vais bien pouvoir leur raconter de drôle maintenant ? »

C'est vrai que je l'avais aimée, "ma coquille" fin 2017, mais qu'elle m'a piégée, reconnaissante que je lui étais de s'être amenée par surprise, m'offrant l'opportunité de changer de ton (qui est bien l'un des miens, mais jamais, jusque-là, exprimé par écrit).

 

 

En remontant la liste avant fin juillet 2018, je ne vois rien de bien sinistre (ou peu durablement). Ceci étant, je n'ai pas annoncé un blog fait d'humour à 100 %, mais privilégiant ce dernier.

 

 

Je parle souvent de liberté. Alors donc, la liberté c'est également risquer déplaire, ou ennuyer.

En un an, je n'ai pas eu l'air d'y sombrer et je m'en réjouis, mais tout le monde en est capable et moi aussi.

C'est fatal. 

IncertainPied de nezDéçuEmbarrassé  (réflexion, la canicule est passée) 

Un truc dans le genre : je me souviens de cet homme au corps d'argile et aux pieds d'argent qui. Euh....

Ca commence bien, bien parti pour être lénifiant !

 

 


On n'en est pas là.

Je peux tout au moins, en attendant de trouver une suite, vous annoncer en grandes pompes Rigolant que tout est revenu à la "normale" ! Je pourrais supprimer une partie de la page du premier anniversaire, mais ce serait moins drôle.

Car je suis de nouveau visiteuse dans mes réponses aux commentaires. Il faut lui reconnaître qu'il obéit à un sens de la logique, le blog. Il faut s'avouer que ça ne dure pas. Mon prénom simple s'affiche en interlocutrice, puis il re-cuisine. Il suffit de cliquer sur l'article et me voilà copine. Réponse de "Corine-visiteur flèche destinataire".

C'est précoce, quand même, l'Alzheimer à 1 an. 

Qu'est-ce que c'est cette façon de re-paramétrer, le blog ? Mais j'ai l'air fine de parler dans ma peau avec l'air d'être une autre. C'est accueillant, ça ? Tu vas nous les faire fuir. Allons, allons. On se rassemble. C'est moi, le blog, tu me reconnais depuis l'enregistrement des derniers mots ? C'est "maman" (ce qu'il faut pas dire !). You know, le proprietaire, pa la pa la pa pa la di da ! (excuse-moi si je n'ai pas les arguments de Marilyn). 

 

Facialement, il n'y a pas non plus reconnaissance. Pas question de m'accorder au féminin. Mais, là je ne me plains pas. On est tous égaux. Un blog, ça nous voit comme des anges. Il voit nos nombrils, mais pas plus. C'est bien moins grave. 

 

 

Où il est, l'interrupteur pour lui rallumer l'ampoule ?!

Mon blog m'affectionne (enfin, je me demande), mais ne me prend pas au sérieux. J'ai triché sur la linguistique : je lui ai dit que moi aussi, j'avais des droits de gravité dans la loi.

On s'est vexés.

J'ai coupé la connexion.

On est restés tout cons.

 !!!

 

                                                                                    Corine,

                                                         mais oui, poussin, la visiteuse, si ça te fait plaisir. 

                                                       

 

 

 

 

 



09/08/2018
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