Mi(s)ScellaneaCorine

Mi(s)ScellaneaCorine

Légendaire vérité

 

J'ai trouvé cette légende fortuitement (auteur inconnu), mais ne l'ai pas aimée par hasard.

A ENCADRER ❤️:


La légende raconte qu'un jour la vérité et le mensonge se croisèrent.
- Bonjour, dit le mensonge.
- Bonjour, répondit la vérité.
- Belle journée ! dit le mensonge.


Alors la vérité se pencha pour vérifier si c'était le cas. Ca l'était.
- Belle journée, répondit alors la vérité.
- Le lac est encore plus beau, dit le mensonge.


Alors la vérité observa le lac et vit que le mensonge disait ce qu'elle aurait dit. Elle hocha la tête. Le mensonge courut vers l'eau et dit :
- L'eau est encore plus belle. Nageons.


La vérité toucha l'eau du bout des doigts et se rendit compte du fait que l'eau était réellement bonne et à partir de là, elle eut confiance en le mensonge.

Les deux enlevèrent leurs vêtements et nagèrent sereinement.
Quelques temps après, le mensonge sortit, s'habilla avec les vêtements de la vérité et s'en alla.
La vérité, incapable de s'habiller avec les vêtements du mensonge (souvent gros, pourtant, dirais-je), commença à marcher sans habits et tout le monde s'horrifia alors en la voyant.

C'est ainsi que depuis, des individus préfèrent accepter le mensonge déguisé en vérité à la vérité nue.

 


14/03/2024
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Entre chauve-souris et araponga !

 
 
Vous n'avez rien entendu, de là où vous vous trouvez ? 
Rien ? Vous êtes loin ? Etranger ? Ah, c'est ça ! Tant mieux pour vous.
Vous êtes sur le blog d'une personne qui, ce soir, a côtoyé le volume d'un araponga.
 
 
PLAP ! COUP DE GUEULE DE LA PLUS HAUTE IMPORTANCE (ben si, voyons!)
S'il n'était pas mort - je pèse mes mots - l'inventeur de la cabine photographique dite photomaton devrait être fusillé. C'est pas des choses à faire, des têtes pareilles ! (évidemment, tout n'est pas à prendre au pied de la lettre Innocent).
Des photos d'identité, je n'en ai obtenu qu'une ou 2 réussie(s) (à mon goût) de toute ma vie - pas mieux chez un photographe.
Aussi, j'ai contourné cette douloureuse obligation autant que le droit et l'Administration nous y autorisent.
Fin 2023, février 2024 : 2 rappels à l'ordre. Ok. Les pieds crispés au fond de mes chaussettes(*) en raison du bout du but, j'ai été EXPRES (et c'est pas la porte à côté) me faire recoiffer il y a 3 jours (une C.N.I, pour dire les choses dans les formes contemporaines, quand même, ça impressionne, ça n'est pas n'importe quoi). Entre fours et réussites, je n'ai jamais fréquenté autant de salons que ces dernières années.
C'est réussi et ça a tenu, je suis capillairement tout à fait prête, pomponnée, muette (il faut s'entraîner) et bien que le tronc soit de facto invisible à l'image, j'ai mis le pull noir à dessin colorés géométriques que j'aime bien. Ça réconforte, cette part de choix.
 
Mais mon cerveau peu de temps apaisé me somme déjà d'envisager que rien n'empêcherait de devoir obtempérer un jour très prochain (rien ne peut le prédire) à la célèbre injonction de :

« PApIers du véhiCUle, carte d'idINtité, MaDaM' » et ça gâche un peu l'embellie.

Moi ? Sans cœur ! Esprit terre-à-terre ! Alors que je m'embarque pour le début d'une décennie. Avec le courage que cela comporte au moment présent (sanglots, épaules secouées). 

 

 

Rigolant Non, non, je refuse d'y penser. Les yeux secs, ce 19/02/24, je suis assise sur le tabouret sous la voix (automatique colle bien avec photomaton), tonitruante. que même la génération d'Edgar Morin Bisou (bisou respectueux, mais il n'y a pas 36 icônes) entendrait comme au jour de ses 20 ans, la voix donc qui me conseille pour ce super shooting décennal :
* ''les yeux ouverts, bien ouverts,
* bien en face",
(pas de chewing-gum ? Elle m'a montré par son programme, la clémence de son calcul d'estimer que j'y ai pensé. A moins que ça ne soit pas intégré dans ses circuits, la question chewing gum. Il n'est plus en vogue. On se demande pourquoi, encore, ça. Il paraît que cela favorise le bruxisme. Moi, je dis, que ça détend bien pendant un bon moment. Rentable. Après on s'étonnera que les Français soient toujours sur les nerfs. Interdiction de fumer, interdiction de boire, chewing périmé. De toute façon bruxisme ou pas, quitte à grincer des dents, autant se faire plaisir. Mais je me suis encore laissé aller à des digressions intempestives).
* "cheveux du haut du visage écartés "
* "pas sourire, pas bouger !"
* Centrée ? Centrée !
 
Zipppp !
Ouhhhhhhararf !!! J'aurais pas su que c'était moi, je ne me serais pas reconnue. Une identité ? CA ! A une époque de retouches, à une époque de selfies... Quelle barbarie. J'ai des cernes, mais pas comme ça. Elles sont sculptées par cette lumière chafouine, celles-ci ! Je rentre à la maisoooonnEn pleurs (icônes pleurs-rire délire, il faut pousser + loin que ce que vous voyez !). La caméra de mon PC par laquelle, en dépit d'aimables récriminations, j'ai voulu ME vérifier, MOI, m'a confirmé, malgré son peu de souplesse, qu'il s'agissait bien de moi (c'est vrai, c'est vache, les caméras de PC où on a l'air d'être presque aussi déformés qu'en se regardant dans une cuillère !Rigolant
L'être devant l'écran est bien moi-même. Enchantée, merci (non mais ça rend fou). Je ne me serais pas abusée depuis des années, dites donc.
 
La photo d'identité, ça doit égaler un, un, un abcès dentaire compliqué ! Voilà à quoi ça ressemble !
 
10 ans à montrer ça ? Sans un sourire, avec la tête d'un légionnaire, que l'on remet, en bonne entorse à la règle, aux mains de la justice ?
 
Et 1 ordonnance d'antidépresseur et une ! ENVOYEZ !
 

Blâme supplémentaire : fixer c'est bien beau, mais j'ai l'air d'une droguée sur leur bazar !! Il y a fixer et fixer ! Ca m'en hirsutise ! Ca fait bien, à la mairie, pour les papiers qu'on aime tant en France. Ô Pied de nez combien de Cerfa, combien de PDF, non,Incertain de formulaires (ou carnets, ou justificatifs, ou attestations, vous remplacez moralement par ce que vous voulez :-) ) nous ont conduits, fébriles, vers des courses lointaines. Eh oui !

 

Je me suis vengée sur un punch au dîner. On va refaire tout ça !

 

 

                                                                                                           Corine

 

 

 

  

 (*) vous imaginez bien que tout est vrai, surtout les chaussettes  ! En fait, si, tout sauf les chaussettes !

 

 

 

Je n'aurais peut-être pas dû garder le manteau. Enfin, voilà des photos bien parlantes !Rigolant Même très atténuées, j'ai quand même l'air d'un chien battu !

C.I Coco le 20.02.24 lumière fantôme.jpg

  

  PS 23/02/24 j'ai bien fait de ne pas m'en tenir à cet air-là et de la refaire depuis. De toute façon, il n'y avait pas le choix ! Notons que cette inquiétude est quelque peu stupide, puisque le ''R'' et le ''F'' de notre République se plaquent toujours sur des morceaux de nos faces plastifiées.


20/02/2024
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Enregistrement ''Alchimie du Verbe'' d'Une Saison en Enfer d'A. Rimbaud (extrait)

 

 

J'ajoute ''perso.'' parce qu'à une reprise, ici (les gens sont pour certains distraits d'une façon différente de la mienne), alors que j'avais titré ma page "réflexions personnelles'", une blogueuse lectrice m'a posé la surprenante question consistant à savoir si elles étaient de moi ! Rigolant 

 

 

 

Quand Rimbaud relate, lui, si jeune, conscient de tout, se rendait nécessairement compte qu'il faisait un rapport des choses, dont celui de sa vie, comme s'il avait dépassé le cours de celle-ci, comme un ancêtre derrière un corridor, déjà au-dessus du sol, ou grattant lui aussi depuis l'outre-tombe, toujours, direct mais détaché par la force du terme.

Avant de regretter dans ce temps noyé que l'on « marche dans le soleil » à sa place.

 

De Rimbe à Rimbaud, l'inoubliable qui croyait effacer ses traces.

Je lui souhaite de flotter sur ces siècles purs, qui ne se comptent plus, ces siècles éthernels où on ne cherche plus.

 

 

 

 

 

Un clic simplement sur ce lien : 

 

Alchimie du verbe "Une Saison en Enfer'' Arthur Rimbaud - YouTube

Je verrais plutôt le ''i'' en vert, moi, mais il n'y a qu'un Rimbaud.

 

 

 

A revoir pour la présentation. Bien que plusieurs illustrations déconcentreraient des réflexions d'Arthur Rimbaud, une couleur au moins ne serait pas de trop.

J'ai au moins illustré la vidéo d'un de mes graphismes et il fallait bien qu'un jour je l'imagine à ma façon sourire ! (pas de place laissée, jamais, à l'I.A de mon côté. Avec tout ce que j'en ai dit et publié, j'en reparlerai forcément.

Viendront en priorité des sujets humoristiques, des sujets humains, de préférence à cette sombre diablesse artificielle).

 

 

 

 

 

Rimbaud HEUREUX LAC ARBRES fusion3.jpg

 


22/01/2024
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Till

  J'adore et quel son !

 

 

 

Si loin du mignon dans le fond et la forme de "Love you till Tuesday" (1967).

 

 

 

 

Un dernier album, une voix impressionnante de beauté. Un texte plein d'insinuations et de racines, obscur, dense et comme je le penserai toujours qui pousse très souvent à chercher en soi après avoir pensé commencer à comprendre, bien plus que jamais. 

Je vais aller plus loin où la charté des obscurités menaçantes m'attend.

Je n'ai jamais pu acheter cet album (en 8 ans) malgré ce qu'il représente, dont je ne connais que ''Black Star'' et ''Lazarus''.

Ca viendra peut-être. 

Cela n'empêche pas de remarquer que ''Girl loves me'' ne pourrait s'entendre ((au sens propre)) sur nul autre album.

 

 

Ca ne pouvait être pittoresque, ce fut pictural.

C'est étrange, ce texte me fait moins peur que le LP. L'apaisement singulier, entre deux sensations, d'entendre redésignés le cynisme et sa mécanique (?) dans des questions universelles, drames insolents, impitoyables jusqu'au dernier souffle. La dernière peinture sous la peinture, cachée pour être trouvée.  Je le sens, mais ne le sais pas encore.

 

 

Il se peut que la vie soit faite pour être scandée sur des changements de tons.

 

                                                                             Corine

 

 

 

 

 

 


11/01/2024
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Without pleasure

 

C'est sans plaisir que j'écris cette page. C'est comme un devoir, un dû dont je ressens qu'il ne va pas être correctement acquitté, c'est donc plutôt stupide.

Pour ce jour d'anniversaire, j'ai fait un petit montage (plus précisément un reel !) que techniquement je ne peux pas mettre ici (rien d’impérissable, le découragement, sang de la tristesse, ne m'aidant pas) avec pour hashtag le nom d'un album. ''Heathen'' un de ceux que j'ai aimé énormément depuis le début de ce fichu siècle.

 

 

En ce jour d’anniversaire, celui de David-Robert Jones (alias David Bowie), j'efface les colères que j'étais en train de couchesur le papier sur le drap de l'écran, comme elles venaient. Je les ai déjà évoquées (brièvement). Que de récupérations épuisantes... Je supportais mal après 2016, mais plus du tout désormais de ne pas choisir quand je l'entends. Je n'avais avant ce jour fatal pas à m'arrêter sur quoi que ce soit - ça aurait été avec grand plaisir. Je ne l'entendais à 99,5 % que chez moi (ou il faut croire que j'étais malchanceuse aussi pour les fréquences radio !). Je n'ai pas manqué de remarquer la hausse des prix pour tout ce qui concerne, à peine s'était-il envolé, ce bel oiseau bleu.

 

Les pubs sont désagréables à mes oreilles, puisqu'il n'en a rien décidé. Ca n'est pas à l'ordre du jour, mais je pourrais ajouter que celle où la voix de Janis Joplin est utilisée m'exaspère autant. Le monde bobo et les risques pris quand on vit vraiment le rock sont 2 inconciliables (que je ne vis pas non plus !). Peut-être, qu'elle, pourrait en rire. Janis Joplin ne fait pas bon ménage dans mon esprit avec le confort.

 

J'aimais énormément la publicité de Vittel, mais les paramètres principaux ont définitivement changé.

 

 

Je me suis rendue, il y a fort peu de temps, à une vente de vinyles d'occasion. Je venais d'entrer et tombai sur la pochette de ''Hunky Dory'' placée en hauteur comme on dispose les marchandises les plus colorées pour appâter le client, ou les mains les mieux vernies pour vanter une crème de soin manucure.

Exposé en tant que valeur sûre. Ben, je veux !

Je regardais cette pochette en me disant que je ne m'en serais jamais séparé, fût-il mort ou vif (quelle vilaine expression). Je repensais à mes 14 ans, 1 an après le début de ma fébrilité à connaître l'univers qu'il créait et fabriquait dans ma tête, et revoyais mon bonheur, mon jardin musical.

Un mec n'a pas compris la raison de mon attention et m'a demandé de sa voix commerciale s'il pouvait m'aider. Ce à quoi j'ai répondu sobrement par la négative. Tout en susceptibilité et prétention, sa mini-cravate rejetée, il me répondit le fort humoristique et sophistiqué : «  non, parce que comme c'est MON stand ! ». Il lui manquait les petites totos à côté pour faire vrom-vroum.

Il s'est retourné Incertain avant que j'aie terminé ma courte réponse. J'ai foudroyé le dos et la face du snob du regard, puis j'ai continué mon chemin où j'ai retrouvé la même tendance presque partout, l'agressivité (et mon inaffabilité en retour) en moins. Il est là, là, là, là. Elles ne sont pas recollées comme certaines des miennes, toujours prête que j'étais à me précipiter, avant le lycée (avant d'apprendre à me discipliner quelque peu).

La conscience de notre finitude, le compte des années nous astreint à un mot ''long-temps". Trop court. 

M....mince, encore une indignation.

 

Il y a une chose dont je suis sûre : de l'éternité du chagrin, pour ceux qui sont partis, du manque. 

David Bowie est plus présent que jamais dans l’atmosphère, mais je me rapporte à sa vie et non à la notoriété ou à la reconnaissance. L'angoisse que je ressens ne se calme pas. C'est probablement idiot, car on n'est pas de plus en plus mort avec les années. J'ai bien peur que ce soit la seule assurance dans l'affaire.

Le profond malaise que les moments de son existence s'éloignent... L’âme de La Palisse planerait-elle à l'heure qu'il est ? Je ne peux pas faire autrement. Personne n'en a rien à faire de mes états en cela, sauf moi qui suis une de ceux qu'ils submergent (''ceux'' : je sais qu'ils existent, mais je n'en connais pas d'autre et puis à quoi cela nous avancerait-il ?). J'aimerais oublier ce que je sais, très souvent. J'aimerais oublier ce que je n'ai jamais voulu entendre, jamais voulu savoir.

 

Je n'ai rien de beau à dire alors que les mots s'alignent, chacun hypnotisé par le dos du précédent, bien qu'ils aient un sens et un cœur. Mes larmes ne sont pas bleues, ni belles, elles n'ont pas de sourire dignement blessé. Elles n'ont que la justesse de la vérité.

Elles n'ont pas d'anniversaire.

 

 

A la fin des années 90, alors qu'il fêtait ses 50 ans, bien entendu, on lui avançait son âge sur un plateau de questions avariées. Ce à quoi il répondit : « Ce sont les intérêts communs qui établissent les connexions entre les gens, pas leur âge. Je ne me suis jamais dit il faut absolument que je rencontre ce type, car il est né lui aussi en 1947 ! »

                                                                                 !!!! Rigolant

 

De ce qui reste inchangé, depuis 2016, est que seul David Bowie arrive à me faire rire au sujet de lui-même ; je ne me suis rien imposé, c'est comme ça et j'ai laissé faire, pour une fois, moi la rebelle, dit-on. Je n'ai plus eu de malice, ce n'était plus drôle.

Je serai toujours désolée de n'être pas née plus tôt pour tant de raisons, dont celle de ne pas l'avoir connu encore plus longtemps et de ne pas avoir eu l'âge de voir le spectacle de Ziggy Stardust en direct.

 

 

La première page de ce blog était du même ton sur la réalité, dents serrées, mais elle ne montrait pas grand chose de ce que je ressentais. Un ''dripping'' de mots aux couleurs de références.

Je ne sais même pas si l'on comprend le sens d'une station vers une autre, dont je me souviens avoir parlé (il n'était pas question de zapper d'un état émotionnel à un autre, ou de le pouvoir) était un de ces rappels (cf.  ''Station to Station'') mais être limpide n'était pas mon but premier. Cette page était pourtant une révérence à mots étranglés, couverts. Je n'ai jamais aimé être claire à son propos. Je me souviens du dernier chapitre de mes ''Etoiles''.

Comme il est loin le temps où j'écrivais sur Cocopasserelle ''Mon pélerinage du 08 janvier.''

Aucun train en attente.

Zapper, oublier son nom ? Seul un Alzheimer le pourrait. Et encore. Le joli dans l'histoire est que les personnes qui en sont atteintes oublient au plus tard les chansons qui les ont accompagnées et ont marqué leur vie. Les chansons sont de véritables empreintes psychiques, des tatouages sans piqûre. (*)

101 ans :

- Alors vous venez Mémé Corine ? Surpris

- They pulled in just behind the fridge he lays her down, he frowns : "gee, my life's a funny thing ! Am I still too young ?" ! (''Young Americans")

 

 

J'envoie toujours l'ordre des choses au même endroit, voir ailleurs si j'y suis. J'y, on.

Il est toujours difficile de vivre « malgré ». Combien de malgré. Ce n'était pas un siècle à fréquenter.

 

Pour insérer ce que je souhaiterais, il faudrait se réatteler à la complète réactivation de ce blog. Je ne peux toujours pas. Je n'aime pourtant pas les pubs (encore !!! Je dois avoir un problème !) qui le polluent.

 

 

Disponible comme, selon son expression prémonitoire, l'eau du robinet sur YouTube, ''Wood Jackson'' que j'ai ré-ré-ré-(sol si ré !) écouté je ne sais combien de fois depuis hier. C'est comme vous voulez :-). Moi j'aime particulièrement et c'est une chanson sensible.

 


 

 

 

 

L'hyperactif Rimbaud avait pour coutume de dire « je m'ennuie, quel ennui ! JAMAIS PERSONNE ne s'est ennuyé autant que moi » (le problème était sûrement plus vaste, mais sa façon de le dire si fréquemment avec persuasion a quelque chose de comique). Je dirais quant à moi « je suis fatiguée » du cafard. C'est un animal qui aime l'humidité, il faut donc sécher ses joues devant lui pour qu'il n'en attire pas d'autres. Il ne m'a jamais attirée, mais il sait manœuvrer.

Il n'y aucune place pour le théâtre dans le mouvement des sentiments.

 

 

                                                                                                      Corine 

 

 

 

 

(*) Ce que je dis est incomplet, car j'ai le souvenir de cette danseuse qui, belle dame âgée, atteinte d'un Alzheimer, se souvenait de ses gestes dans le Lac des Cygnes. A pleurer, mais magnifique.

 

 

 

 

 

PS  DB a better future 08.01.24.jpg

 


08/01/2024
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Mon Dormeur du val

''(...) accrochant follement aux herbes des haillons d'argent, où le soleil de la montagne fière luit. C'est un petit val qui mousse de rayons (...). Souriant, comme sourirait un enfant malade ; il fait un somme. Nature, berce-le chaudement il a froid (...) Il a deux trous rouges au côté droit.

(''Le Dormeur du Val'', d'Arthur Rimbaud).

Je vis Rimbaud comme je ne l'ai jamais fait, poèmes en retard (dont je me souvenais à peine d'extraits), conférences d'hier, d'il y a 60 ans, récentes, film,... Le Dormeur est entre mes doigts depuis plusieurs jours, changeant légèrement selon mes regards, soumis se réveillant tandis qu'endormi, dans mes mains. Le poème intégral est dans ma tête depuis hier.

 

Quel rapport avec un 21 octobre sur un blog quasi fermé ? Je ne le sais pas moi-même. La violence d'Arthur, ou son injuste intransigeance ?

Mais c'était Rimbaud.

Rien à voir, rien à dire. Je nage juste dans ces rivières, dans quelques Voyelles.

Ces lignes sauteront peut-être.

 

Je vais laver mes mains d'argile. 

 

 

 

                          Corine

    

 

 

Mon dormeur du val 1er pour Miss.jpg

 

 

Ps rectificatif du 09.12.2023 : 2 films pour ce que j'en ai vu (il y en a forcément bien plus - et encore que je suis un peu freinée par la règle grammaticale de modération des adverbes !).

Après ''Total Eclipse'' avec Leonardo DICAPRIO que j'avais vu, admirative, lorsque j'ai écrit ces courtes lignes, j'ai découvert ''L'homme aux Semelles de Vent'' où Arthur Rimbaud est joué à l'âge adulte par Laurent MALET, excellemment.

 

 

                                          

 

En pleine lecture de cet immense et admirable travail de Jean-Jacques LEFRERE ''Arthur RIMBAUD, Correspondance'', j'ai pensé il y a quelques jours à ce qui pourrait être une expression de mon état : je suis tombée dans le livre, comme un poisson, ferrée.

Je préfère ne pas penser à la raillerie de Rimbaud à la vue du hareng porté par Verlaine.IncertainClin d'œil

 

 

 

 

 

Honnêtement, mes variations jusqu'ici :

 

 

 

 

 

 

 

Le chérubin :

le dormeur jusqu'au 17.12.23 couleur argile.jpg

 

 

 

 

 

  

             Le dormeur du val mon préféré mais refait paupières retouchées artif..jpg

         Mon préféré que je regrette d'avoir repris intégralement ; ne manquait (selon moi) que le "sourire

         d'un enfant malade''

 

 

 

 Le dormeur du val buste et oreilles 17.12.23.jpg

 

 

Pas eu le temps car j'y vois des défauts, mais je le finirai un de ces jours !


21/10/2023
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Jane B., notre french citizen à nous.

 

 

 

La pile des célébrités chères s'ébranle encore et perd l'un de ses membres.

 

Jane B. qui était dans la cour de récré de nos naissances, de nos vies.

 

Je m'exprime par peu de mots, car rendre hommage, voir les gens disparaître est, pour le moins que l'on puisse dire, très peu agréable (cf. texte de la Shadok pompée, mais c'est un fait déjà évoqué bien avant). Cela va à l'encontre, également, du but de ce blog.

 

 

 

 

C'est différent, mais tout constitue une part de nous, nous bouleverse de vilaines vibrations. 2022 - 2023. Cinq couronnes de deuil dans la famille, de sang, ou par alliance, + 1, en un peu plus d'un an à peine, c'est beaucoup. Peine est le mot

DéçuDéçuDéçuDéçuDéçuDéçuDéçuDéçuDéçuDéçuDéçu

 

 

 

 

 

 

Pour en revenir à Jane Birkin, qui n'avait pas de sympathie pour elle ? Rares doivent-ils être.

J'aimais bien l'écouter chanter et certaines chansons ne peuvent être bonnes que par elle, mais j'aimais énormément, avant tout, son humour et ses analogies, tant d'images, de mots rapides et loufoques, son extravagance bien anglaise ET personnelle. Je ne résiste pas à l'humour anglais, pas moins à l'humour juif, ou belge (enfin au belge, à 90 % ! Lol).



Je me souviens avoir entendu qu'au nombre des excentricités dont elle était coupable, elle conservait précieusement les croûtes de ses enfants.

Jane faussement naïve, parfois fausse modeste, ingénue ludique, sexy, Jane profonde, intelligente, touchante, convaincue, sincère, si drôle, muse, puis auteur après mûres réflexions. Je n'ai pas connu de vie où Jane Birkin n'existait pas. Il y eu tant de disparus, tant de morts aux programmes accélérés ces dernières années. Disparus... Idem, Jane, ex-petite baby doll. Dans l'espace qui restera le nôtre, il y a aura toujours une place suspendue, exquise, divine, très charmante (mots qu'elle aimait utiliser pour les autres, mais qui lui ressemblaient) où la cicatrice de sa disparition laissera une coupure, là où la croûte fera semblant de se former, sans pouvoir vraiment tomber.

 

 

Comme d'habitude, quand je découvre un titre qui m'éblouit, je l'écoute à n'en plus finir. "Les jeux interdits" est magnifique.

J'ai écouté leur mère détailler l'histoire : quand Kate, inspirée par le film, jugeant que les morts avaient tous les mêmes droits aux attentions, enterrait avec Charlotte des cadavres d'animaux, tout ce qui méritait un ensevelissement, y compris des gigots (!!!) et échangeait des plaques commémoratives dans un cimetière ! (ce qui causa quelques ennuis). Une chanson pleine d'amour et drôle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Jane, notre french citizen.

 

 

Jane B..jpg

 

 Vous aimer ? Nous ''non plus'', Jane. Je ne pensais faire que ce montage mis en ligne après la nouvelle, les yeux écarquillés.

 

 

 

 

 

 

 

 

J'aime beaucoup ''Fuir le bonheur de peur qu'il se sauve", mais cela me touche de trop près, j'opte pour la GAIETE ici : 

 

 

 

Un play-back marrant et quelle valse Rigolant !  Et puis Dutronc Bisou :-) 

 

  

 

Un de mes plus grands paradoxes est mon mépris pour le déni de l'utilité de la mort et la pensée, toutefois, que le plus beau meurtre serait celui du temps, les mains propres.

 

 

Bye Miss Birkin.❤️ 

 

                                                                                                 Corine

 

 

 

 


22/07/2023
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Article sans titre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

GRAPHISME EXPRESSISSIMO - YouTube

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


18/04/2023
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Une Shadok pompée

 

 

 

 

        Je suis remontée sur mes dernières pages et cela m'est apparu avec transparence : malgré ma volonté de revenir à son esprit d'origine, ce blog est devenu lent, je n'ai plus de temps pour rien, même pour répondre (ce que je faisais systématiquement).

Et pire, il est devenu plutôt mortuaire. Il y a beaucoup trop de gens que j'aimais qui meurent (décès de plus en plus rapprochés) quoique, des célébrités, pour ce qu'il en est, elles ne battront jamais le record de chagrin dans l'horreur stupéfiée que m'a fait ressentir l'entrée en 2016, une peine qui n'a jamais séché sur 7 ans. Un nom que j'aime si peu citer en entier, comme l'or que l'on cache, piètrement à la mode (bip bip do do do do do) alors qu'il était depuis si longtemps une évidence indispensable et qu'il fallait comprendre. J'avais été très étonnée que Karl Lagerfeld semble être dupé (pas son genre !) par le titre ''Fashion'' et l'utilise, ou était-ce juste utile ? D.B, 1ère et dernière page de ce blog, ce à quoi il faut inclure tous les 08 janvier et, jusqu'à cette année, les 10.

Les responsables de communication d'un réseau me proposaient hier de booster mon audience par un montage qu'ils avaient choisi, que j'ai fait de lui, pourtant sans hashtag. Je ne peux pas me servir de David Bowie quoi qu'il m'en coûte. Je sais, dès que c'est possible, on s'empare de cette aubaine :-( 

 

 

Une meilleure amie d'enfance qui meurt, ça vous secoue. Je n'oublie aucun jour que je suis mortelle, mais j'ai toujours l'impression que je ne partirai pas la dernière et je l'espère. Christelle dont je m'étais enregistré, quelques heures après la nouvelle de son décès, comme si ma mémoire allait s'envoler dans la nuit, pas mal de souvenirs rigolos que je n'ai pas eu cette fois la force d'écrire (j'ai parlé d'elle, mais pas des joies dans leurs détails, parfois bien chtarbés). J'avais pour intuition que ça prendrait un an. Beaucoup plus souvent que ces dernières années superposées (je n'ai même pas songé à son nom pendant le covid, ce que je précise pour ne pas trahir nos rapports adultes), j'ai pensé à elle et en particulier le 17 janvier 2023, date de la première année de son départ. Il n'y a que ces derniers jours que j'ai songé qu'il ne m'était pas revenu à l'esprit de décrire des images, nos dialogues. Nous sommes faits aussi de notre passé (et il tient une très grande place chez moi).

Sa mère l'a suivie un peu plus d'1 mois plus tard. Ces deux-là sont de celles que l'on ne s'imagine pas mourir plus tôt que prévu. Trop drôles, trop vivantes, trop adaptées. 

Nous avions avancé nos premiers pas (sociaux !) en même temps dans la vie (à 3 ans) et poursuivi des années. Il m'est difficile de comprendre qu'elle ait pris le terminus, que je l'aie revue un jour, ou jamais. Je n'en savais rien, je ne m'en souciais pas. Je sais juste que je n'y suis pour rien, bien au contraire. J'ai fait le calcul de combien de temps cela faisait que j'y avais renoncé. Hum... C'est comme pour tout, quand d'un côté, l'urgence ne s'impose pas et, que, de l'autre, peu d'éléments d'une histoire la ferait penser comme close, je ne vois pas le temps s'enfuir et nous voler notre attention. Il n'y a pas ni tourment, ni obsession. La première personne qui vous choisit, vous, et personne d'autre parmi tous ces enfants et qui vous offre une exclusivité, ça ne s'oublie jamais. Son visage et son rire aux éclats sont devant mes yeux. 

 

 

Cette année, c'est un tout. Ce sont de nouveaux bilans violents et des plaisirs qui passent, mais laisseront leurs marques agréables. Et des soucis, souvent ridicules d'advenir, mais pesants, alors que les autres suffisaient amplement.

Oui, c'était mieux avant, notamment quand les services n'étaient pas des adversaires, quand certains ne se débarrassaient pas de tout en se cachant derrière l'informatique et un téléphone qui ne répond jamais ! C'est vrai que j'en avais des choses ridicules à raconter de ces problèmes qui vous tombent dessus alors que le blème se voit comme le nez au milieu de la figure. Le virtuel était sensé être un bénéfice (il y en a, je me rends bien compte que je suis dessus à l'heure où je vous parle et que je m'en sers depuis plus de 20 ans, bien avant les blogs), non un encouragement au dédain, un suppôt des erreurs qui se prennent au sérieux ! Dieu sait si je suis étourdie, mais justement au boulot, il faut faire attention à ce que l'on fait.

Alors en tant que souscripteur, adonné à tout ce que vous voulez, il faut répondre, se fâcher, souligner là où le bât blesse dans l'apostrophe que contient le mail ou le courrier qui vous est adressé, (parfois les 2) rappeler leurs services à l'ordre, prouver que l'on a raison, mais s'en épuiser tellement ça se répète. Là, aucun plaisir, si ce n'est le soulagement de la victoire. Des montées de tension pour l'obtention de lauriers de la sorte, c'est déjà pénible, mais quand ça se multiplie par 2 (noms), c'est exténuant. Il ne faut jamais lâcher, mais ces situations sont pathétiques.

La robotique que l'on croit supérieure permet une rapidité que l'on apprécie, mais l'acceptation des rattrapages des couacs de l'autre côté est plus lente. Il faut les arracher.

Le PC et le mobile font l'objet d'une vigilance dont on doit redoubler... 

 

 

 

 

Donc, le blog, soit je l'arrête, soit je retrouve l'humour et le temps. C'est on ne peut moins probable.

 

 

Il aura été le blog:

* le plus long que j'aie tenu, mais le moins fourni, comme si j'attendais l'impossible pour me relancer,

* celui où j'estime que mes textes ont été les plus maîtrisés,

* le plus surprenant de ne jamais trouver d'atomes crochus nulle part sur une plateforme (je le redis, mais ça n'a jamais évolué et j'ai vu que nous étions dans cette situation en grande majorité ici), mais d'avoir des abonnés venus d'ailleurs, encore merci à vous, 

sans oublier la plus fidèle dans le temps (plus de 10 ans, 12 facilement !) suivant le cours des changements : Pascale, au four et au moulin dès qu'elle le peut pour rassurer, comprendre, apaiser, faire plaisir, répondre sensiblement pile là où il faut.

 

* Le blog qui ne m'aura même pas donné assez d'énergie pour publier ce qui est tout prêt, mais à relire et je ne vais pas faire une capture d'écran pour le prouver, je ne vois pas l'intérêt, (auparavant, je pondais tout de suite), ni reprendre ce qui a déjà été fait. Une constipation gallinacée peut-être. 'Ponds plus. Camille Claudel a été ma dernière certitude, elle est venue toute seule, j'ai eu du mal à m'arrêter.

 

 

Les raisons de clôtures de mes blogs il y a des années étaient tout autres.

 

Ce con de virus a finalement gagné sur un grand nombre de mes sourires, ma force et des déserts qu'il a créés. Il y a trop de temps que ça fonctionne mal comme ça pour que cela s'améliore. Le graphisme me prend beaucoup de temps aussi, entre autre, car il faut vivre (hors Net !)

 

 

« Et puis l'année d'après, je recommencerai, et puis l'année d'après, je recommencerai »

Je ne crois pas, non, cette fois. Trop mature.

 

Ca ne m'égaye pas, mais je ne vois que ça plutôt que de tirer sur la corde, ce n'est pas fait pour ça.

 

Prenez bien soin de vous. Et il y a toujours la messagerie.

Bisous !

 

 

 

 

 

                                                                                       

 

                                                         Corine

 

 

 

 

 

 

 

 

 Pour Christelle ( et moi). Qu'est-ce qu'on a pu la chanter seules, ou à 3 avec Flo, celle-là !

 

 

 

 

 

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Les paroles (album ''Hours'') méritent autant d'être écoutées que le clip d'être loué :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                  Une de celles que j'aurais le plus écoutées dans ma vie :

                       

 

 

 

 

 

 

 

 

 

          Nicolas Ker/Poni Hoax, pour toujours hors cadre et si bel artiste (paix à son âme tourmentée) :

 

            

 

 

 

 

Pour lui, modestement  :

 

VIE Nicolas KER.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                              Extrait du splendide album de reprises ''Pin Ups'' (1973, juste APRES Ziggy,

 

                              un album intermédiaire.

                              Tout ne tient pas à une coiffure et une couleur de cheveuxPied de nez.

                                         

 

 

 

 

 

 

 

And not in a shy way

 ...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

             Choisi pour tout, l'ambiance, la chanson, l'élégance du sourire à une autre génération

            et puis, même si j'aime beaucoup plus Arno, j'aime bien Stromae :

        

 

 

 

 

 

 

 

J'aime beaucoup, je recommande aussi :

 

 

 

 

 

 

          Opéra Nina. Un clown surdoué, une de mes préférées la concernant, une chanson dont j'aime l'accord

       très original et réussi entre l'harmonie et la cacophonie. Et quelle voix (je craque vraiment dès 01 : 17

       sur la bande)

 

          

 

 

 

 

 

 

 

 

Très récent : "Apocalyptica - 'Seemann' featoujours de Nina Hagen, que j'aime beaucoup, mais j'ai pitié, je ne vais pas plomber complètement l'ambiance de la page ! Je recommande, bien sûr de l'écouter (et il y a toujours moyen de voir les paroles en français)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                           Pour terminer dans la gaieté, sur 2 époques, un titre que je ne connaissais pas

                          (et encore moins Nina HAGEN démaquillée - même si je n'en voyais pas l'utilité - qu'elle

                          est mignonne et bonne comédienne Rigolant!), écouté X fois en 2022 et l'année actuelle

                          à coup sûr :

 

                                  

 

 

 

Avec le temps, tout écouter est largement possible. Je vous le souhaite. Je viens de le faire. Ca n'est jamais assez long, une bonne chanson !

 

 

 

 

 


04/02/2023
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31 janvier 2023. Lumière

 

 

 

C'est bizarre. J'ai écrit il y a 4 ans et raconté à peu d'amis un cauchemar de janvier 2019, mais je ne parviens pas à me décider à l'écrire sur ce blog, comme si cela représentait une inscription de trop.

Je ne rapporte ici ce jour que la légèreté :

 

Allez on part ailleurs, Papa, !es oreilles dans le sens du vent, sans ''preguntar '' !
les ânes butent il va faire beau
allez en avant la musique on va danser la rumba, on en a vu d'autres !
Je nous comprends ''C'est l'enfance de l'art" ! Clin d'œil Hein, Papa ?
 
 
 
31/01/23, 4 ans, mais comment le temps passe-t-il, comme un sagouin, comme si nous étions tous de l'étoffe du vent ? Il ne gagnera pas non plus, je serai peut-être la dernière mémoire exacte et mes notes me survivront. Je n'effacerai pas celles-là. Tout ce que j'ai déjà écrit par 3 fois différemment, n'en dit pas le tiers du quart, oui le 12ème je sais !

 

 

 

 

Papa le 31.01.23.jpg

A toi. Que la lumière te soit éternelle.


31/01/2023
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