Mi(s)ScellaneaCorine

Mi(s)ScellaneaCorine

Article sans titre

 

 

Je viens de trouver ce film qui me hante depuis mes plus jeunes années. je n'ai jamais cru ce que disait la comtesse; C'était du cinéma, on ne décide pas de tout, même au prix de souffrances. Il faut y être aidé, sans garantie. Il faut que deux aient la foi en ce que pouvez être. Je n'ai pas changé d'avis.

Je me suis toujours souvenu de la crise de folie. jouée par Ingrid Bergman

 

 

 

 

 

« Tu vois, le temps en vérité n'existe pas. »

 

 

 

 

Une tristesse, aucune jalousie de ces 19 ans, un cadeau symbolique, merveilleux, pour une vie.

 

 

J'en ai accepté, des risques, sans doute pas les bons.

 

 


01/12/2024
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Article sans titre

Chaque année est un deuil. Le mien. Ma jeunesse : une enfance avortée.  Il y aurait dû y avoir un échange dès 19 ans. Certains n'auraient pas vécu ce qui les menaçait, moi non plus du coup, une autre façon   Greffe autorisée dans mon portefeuille depuis des années, 2 cartes

 

Vivre c'est la honte de ce j'avais promis, raté malgré mes cingleries et malgré mon usure. Vivre  signifierait donc que l'on s'inquiétait pour rien pour moi alors il y a longtemps.

 Je ne suis ds aucune case que l'on aide, ça ne vient pas à l'idée.

 

Des pleurs, du rire, des sanglots 

 

Chaque année c'est un échec que chez moi je ne fête plus. Je me bats assez pendant l'année. Et je souris (pas toujours) chaque année je souhaite quelques mois jusqu'au dernier jour que ce 30 novembre n'arrive pas 

 

C'est un jour chiffre, un joli mois. Si encore je ne vivais pas en ce pitoyable siècle. Avant et sa putain de tempête de fin de XXeme , tout était normal, tout. Un travail, des copains, des collègues normales, pas de coup de foudre inadapté

Et les souffrances avec et les bonheurs incomparables avec, inguérissables

Je ne vais pas laisser ça pour ne pas enlaidir mon blog

 Frimousse est la seule belle chose fiable jusqu'au bout qui me soit arrivée. Paix à ce bel être et

sa chère âme ♥️

 

 


30/11/2024
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EXTRAIT lettre étrange Arthur

 part de texte2 Rimbaud pour film.jpg

 

 

 

 

 

          A un mot près, ma relecture me positionne dans la surprise de me trouver dans une position qui pourrait faire confusion avec un esprit mal tourné, banal (très banalisé). S'il m'arrive, pas moins qu'une autre, d'utiliser ce dernier, parfois, instinctivement, malicieusement ou, plus ironiquement, il ne se situait en aucun point lors de l'écriture de ces lignes qui sont bien plus longues et ne se réfèrent pas à des parcelles de secrets l'alcôve, ou d'alcool vomi sur un trottoir. ''Pénétré''. Je ne vois pas quel autre adjectif ou verbe employer qui me convienne. Et me voilà en train de m'expliquer sur ce que peut-être peu de gens auraient remarqué (alors ça ce serait double m...de !).  ''S'être engouffré'' n'est pas loin d'engager une volonté plus hasardeuse qu'éclairée, un glissement de mouvement de pensée.

Eh, non. Certainement parce que je ne pense pas primordialement à la sexualité de Rimbaud comme étant un caractère durablement significatif, mais comme une conséquence partielle et secondaire chez ce poète. Personne n'oublie Verlaine. Leurs noms sont tellement associés. ''Melle Rimbaud'' a été raillé à l'époque, sans que cela ne l'ait gêné outre mesure (en rien sans doute, une provocation additionnelle ne faisait pas de mal !)

Passons-nous 5, 8, 10, 12 ans avec quelqu'un, une fois seul pendant une apostrophe de mois, ou longtemps, on EST célibataire. N'omettons pas que nous nous trouvons au XXI°, où les idées sont larges, mais les avis rapides ! Deux ans de vie commune avec Verlaine et Rimbaud EST désormais l'amant de Verlaine - en oubliant l'Abyssinienne avec laquelle il vécut 3 ans ou 4 ans et d'autres aventures plus ou moins sûres.

Rimbaud était surtout peu fait pour le couple.

Sortons du slip et passons au caractère : je crois que, déjà contrarié de se composer des plats de pissenlits (sans vinaigre, ni citron, ni épices : la poisse) chaque jour de son trépas à Roche, il aurait poussé une sacré gueulante d'outre-tombe si on lui avait dit que l'on avait manigancé son transfert au Panthéon avec son amant, à jamais réunis. A ce point, c'est assez triste, mais rien dans leurs derniers rapports, houleux, ne laisse penser à ce choix.

 

 

« Je me souviens des jours anciens et je pleure » - Chanson d'automne, Verlaine (de son côté, si Rimbaud l'a marqué jusqu'à sa mort, Verlaine n'a jamais été - soyons correct, euh... - à jeun ''sentimentalement'' parlant).

 

 

 

 

 

 

 Sur photos perso. avant tonte !

RIMBAUD REFAIT hant et étroit jardin Andernos.jpg

  Ce qu'il aurait pu être, un paysan honnête et insolent (on ne se change pas, il faut vraiment vouloir) 

 

 

 

Rimbaud dans jardin punk et pied HERBE SUR PIED NATUREL.jpg

 

     Ce qu'il n'a pas été non plus, un dandy punk.

Deux de mes versions graphiques, à la maison ! Rimbaud dans le jardin, un luxe ! Clin d'œil

 

 

 

 


14/10/2024
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Un des incontournables de Jane Birkin/Etienne Daho

 Je ne vais citer que quelques titres qui me touchent tant dans cet album admirable de 2020 " Oh pardon tu dormais'', tels que :
 
 
''Je voulais être une telle perfection pour toi''
 
 
 
'' Cigarettes''
 
 
 
''Les jeux interdits'' (déjà mis en ligne ici')
 
 
 
''Catch me if you can'' 
 
 
 
ou
 
Max

Un martyr, laissez-moi rire, qui compte à son actif des années de sommations, d'humiliations, qui vous possède, vous manipule crée le ''monstre'' qui le laisse à terre.

Quel est le monstre qui sait se faire horreur ? Mieux : y réfléchir.

Les larmes de Max seront une autre obsession dont on ne se guérit pas comme ça, qui a creusé une gouttière. Il a créé une dureté, une cruauté durable sûrement pas, pour avoir besoin de courir pour ne plus entendre pleurer. Le cœur est cloué de ne plus vivre comme il l'entendait et n'attend rien, tant que les forces du dominant le serrent et emprisonnent sa tête, après la course dont personne ne peut prévoir l'étendue de l'essoufflement moral, plus épuisant que celui du parcours pour fuir.

Dorian Gray cachait le portrait de ses fautes et de son âme. Max en a peint perversement un autre qu'elle a pris pour un miroir.

 

Il a abîmé trop longtemps ce qu'on ne peut jamais, à cause de cela, entièrement réparer en soi. Trop long pour tout à fait se reconnaître, obligé, encore, de mesurer ce que l'on a perdu, quand on n'est pas en miettes.

 

Lui se relèvera et saura manœuvrer, tourner la page après quelques kleenex pour lui-même (a-t-il seulement regardé, écouté ce qu'elle était ?), de calculs et de regards éperdus envers d'autres, sans s'inquiéter de son ombre.

 

 

Et elle qui « ne sait rien faire » (beau travail, Max !), qui « se libère » de l'oppression directe.

C'est une chanson qui a l'air de très bien savoir ce dont elle parle, mais il y en a, des ''Max''.

J'aurais dit, avant les excès, que j'étais plutôt féministe. Je ne peux plus me le permettre. Défendre les femmes, il était temps ! (j'ai déjà insisté sur le sujet) mais l'une des nouveautés des féministes XXL est l'outrage harcelant du regard appuyé !!!! Ca ne figure pour l'instant dans aucune loi, mais on y a pensé ! 

Les filles, au final, va-t-il rester des codes ? Bientôt le retour de l'ombrelle et du chaperon ?

Je n'entends pas parler de la façon dont CERTAINS hommes parlent aux femmes, ce qui mériterait un lexique indicatif !

Se respecter ne signifie pas que l'on doive devenir paranoïaque, faire payer à tous les sal... eries des autres, de créer deux camps ennemis, de faire peur sans être en danger.

Ca en a bien pris le chemin pour quelques-un/e/s.

 

Je dis ce dont je suis certaine, que je suis contre, contre toutes les soumissions, contre toute prescription.

 

Prescription, remise de peine,... Les blessures n'ont pas de remise pour réduire ou affaiblir leurs peines.

Il est bien plus fort de se reconstruire que d'être un déplorable sadique.

 

C'est plus général.

 

 

                                                                                                                     Corine

 

 

 

 

 

 
Il était à genoux devant moiEt je ne touchais pas ses cheveuxLe visage qui m'avait commandéEt ordonné tant de fois était en larmes Le dos qui était si supérieur, était courbéEt je n'ai pas eu un geste de compassionPas une main vers luiJ'étais un monstre, un monstre
 
 
À quelle distance s'enfuirPour ne plus entendre pleurerTrop tard pour la pitiéEt trop tard pour parlerMon ombre atroce s'est décollée de moiEt ellе me fait peurSi je sais riеn faire, je sais faire peur
 
 
Je crois même que j'ai suCe que c'était la cruautéLe plaisir de faire malUne vengeance contre les années de soumissionDe complexe d'inférioritéJ'étais comme un pays africain qui se libèreTrop tard pour la pitiéTrop tard pour parlerIl était comme une blessure ouverteEt j'ai tourné le dosPour ne pas le voir, pour ne pas le voir
 
 
À quelle distance s'enfuirPour ne plus entendre pleurerTrop tard pour la pitiéEt trop tard pour parlerMon ombre atroce s'est décollée de moiEt elle me fait peurSi je sais rien faire, je sais faire peur
 
 
À quelle distance on n'entend plus pleurerJe me suis mise à cette distanceExacte pour ne plus t'entendre pleurerPour ne plus t'entendre pleurerPour ne plus t'entendre pleurer
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Paroliers : Etienne Warren Daho / Jane Mallory Birkin / Jean-Louis Maurice Pierot
Paroles de Max © Downtown Music Publishing
 
 
 
 

05/09/2024
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Confondant ''Misanthrope'' !

 

 

    Pour chaque artiste, on nous montre - voire nous ressasse - des extraits, interviews, blagues, déclarations  déjà vus ou entendus, mais de cette heureuse interprétation iconoclaste, je n'avais jamais eu vent ! Le Misanthrope au flipper, avec deux azimutés ! Rigolant

Au départ de Françoise Hardy, rien de plus évident que de la réécouter, réadmirer immanquablement ses textes. L'écouter me ramène toujours à son fantasque époux (à double dose pour respirer, car elle peut bouleverser au-delà de raisonnables mesures). Jacques Dutronc, même s'il tient sans secret une grande part dans la cause de ce qui nous retourne dans les chansons de Françoise Hardy, est donc un motif de peine et un remède. Quant à elle, sa façon de vivre tout cela, m'est toujours peu compréhensible, mais ça-ne-nous-regarde-pas.

Ne soyons pas plus royaliste que le roi et puis, très injustement, ça m'arrange. 

 

 

L'homme aux souris, aux panthères, aux chats m'a toujours tellement fait rire, parfois touchée et tant bluffée, confondue, étonnée, ce que vous voulez. Et puis, moi aussi, j'ai des yeux Clin d'œil Il ne pouvait pas laisser indifférent. Il est de ces gens à qui tout semble offert, mais qui sont tout sauf oiseux. Il a le don et le poids d'être un artiste aux aptitudes fertiles.

Quant à Jean Rochefort, il est si facile aussi d'aimer ce personnage inouï ! (que j'ai quand même pas mal cité !)

 

 

Je me souviens de mon explosion de rire devant le titre de la compilation de Jacques Dutronc que j'achetai vers la fin des années 90 : ''33 ans de travail''.

 

 

 

 

 

 

 

''Le Misanthrope'', dans un décor improbable et sans costumes ! Il bossait déjà, le playboy, qui dément d'ailleurs sa fainéantise à chaque rôle au cinoche ! (et qui compte davantage de films que d'albums malgré ce qu'il laisse à jamais dans l'excentricité musicale ! D'abord avec Lanzmann, qu'il ne faut jamais oublier).

J'ai toujours été très dutronienne, de son talent, de sa voix très particulière, de son excentricité, de ses bons mots, de sa musique, de sa vivacité, etc, etc.

 

 

 

https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i04107931/jean-rochefort-et-jacques-dutronc-le-misanthrope

 

Un festin, quelle mémoire (un Jacques Dutronc très sobre). Et de glorieuses et drôles de petites erreurs rattrapées.

Inappréciables, ces 2 ! Très sobre, mais de quoi trinquer à deux après.

 

 

Cette plateforme permet d'insérer des liens, mais pas toujours de cliquer dessus.

Enfin, si vous êtes motivés et je ne saurais que vous y pousser jusqu'au bord de l'abîme de la joie avant d'y plonger vous-mêmes, les mots-clés de Misanthrope, Jean Rochefort, Jacques Dutronc vous mèneront, vous vous en douterez, au but, c'est-à-dire aux archives de l'I.N.A (plus inattendu) vers cette émission présentée par la jeune et jolie France Gall. Quelle robe ! Renversante !

 

Mais après les retournements et ces renversements vestimentaires, je me remets à l'endroit pour conclure.

 

C'est la première fois que je fais 2 pages (courtes) sur la même personne, heureuse de pouvoir écrire sur quelqu'un qui est parmi nous (je croise mes 10 doigts pour qu'il le reste longtemps. Il n'a pas le choix, d'abord on ne veut pas qu'il en soit autrement et le monde est trop flou pour que l'on se passe de lui.

Ca va comme ça.

 

 

Je n'ai qu'une chose à ajouter, ces mots fondamentaux de Molière, après avoir bien ri, donne envie de les relire, intégralement.

 

 

 

                                                                                                                     Corine

 

 

 

 

 

 

 


22/08/2024
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"Est-ce ainsi que les hommes vivent" DEUX DUTRONC assurent !

 

    

        Je me répète (c'est fait exprès !) mais c'est vrai, tout le monde ne le fait pas, juste par manque de réflexe, mais après le clic sur la flèche de la vidéo, celui sur  la touche en bas à droite de ''YOUTUBE'', de façon à être en grand écran, change tout :

 

 

 

 

 

 

 

  Jacques et Thomas Dutronc, Thomas et Jacques, toute une histoire dans l'histoire, deux doués fertiles. J'ai l'impression que je suis encore un peu en retard, mais Ils ont fait fort. Reprendre le fil d'un chef-d'œuvre de leurs voix si reconnaissables et plus profondément, mettre tout le sérieux dont ils sont capables dans leur interprétation dans un domaine où on ne les attendait pas, il faut déjà le faire. Sauter par-dessus quelques vers, faire marche arrière, reprendre, appréhender cette poésie à leur goût, la conquérir à leur façon, s'y reconnaître et garder leur patte d'admiratifs insoumis est un défi.

Une chanson n'est pas une copie. Nous devons l'initiative de cette reprise à Thomas.

 

 

C'est un tel plaisir d'écouter leurs talents différents, mais si proches et de voir l'amour qu'ils se portent. Quel clip (j'appelle ça une perfection) et quel son !

 

Je ne sais rien de l'exégèse de ce texte dédoublé sur quelques faces, mais cela peut très bien, (en se détachant des images), être le même homme à deux âges qui n'a rien oublié, ni guéri de ses méditations et continue de se répondre.

Un effroi, ''est-ce ainsi que les hommes vivent ?''.

 

 

 

Un très bel hommage à Aragon.

 

 



 

 

 

Jean Rochefort disait de Jacques Dutronc qu'il avait très vite pensé qu'il était nécessaire. Et comment !

Cet homme à la sévère nostalgie est profondément drôle. C'est plus fort que lui. Dutronc, c'est un escalier : on ne sait jamais ce qu'on va trouver à l'étage, mais on ne s'ennuie jamais. Deux Dutronc ne sont pas fait pour arranger l'affaire ! La tristesse de l'enfant terrible dès les années 60, est rarement perceptible. Sa gêne peut l'être, derrière ses nombreuses pirouettes et son tendre sarcasme. Les chansons, c'est autre chose. S'il faut balancer, il balance, Jacques !

Les yeux de mer derrière des vitres teintées (*) de cet homme à l'humour impérissable sourient à de nombreux moments du passé et aux tours futurs.

Un sourire, parfois s'affaiblit, avant la prochaine blague.

Mais il y a son fils et ses deux mains sur les épaules, ce n'est plus une farce, c'est le bonheur sur un texte divin, un plaisir sans dents de scie.

 

 

 

 

 

 

Mais qui se soucie de lui ? Ben, nous (aussi) !

 

 

On vous a écouté, on vous a regardé

 

on vous a acclamé, on vous a réclamé

 

on n' peut plus nous en passer ! Clin d'œil

 

 

 

                                                                                                Corine

 

 

 

 

(*) Je dis bien vitres, car ce sont des fenêtres.

 





 


07/08/2024
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L'une des belles philosophies d'Anthony Hopkins

 

 

 

 

 

 

Ce point de vue n'est pas le seul d'Anthony Hopkins que j'aie aimé, mais je voue une affection et une estime particulières à celui-ci, lu il y a quelque temps.

Les 1ère, 3ème et 4ème (du coup !) premières phrases ne me ressemblent pas - j'en aurais l'esprit plus léger et je lui envie cette grande sagesse.

Pour tout ce qui suit, j'y adhère de bout en bout. L'état de fait ne change pas, mais il est toujours si apaisant de savoir que des personnes pensent de la même façon que soi (elles n'ont pas besoin d'être célèbres !).

C'est si bien exprimé que je le partage avec vous :

 

 

 

« Ma philosophie est : ce que les gens disent de moi ne me regarde pas.

Je suis qui je suis et je fais ce que je fais.

Je n'attends rien et j'accepte tout.

Et cela rend la vie plus facile.

Nous vivons dans un monde où les funérailles sont plus importantes que les défunts, le mariage est plus important que l'amour, l'apparence est plus importante que l'âme.

Nous vivons dans une culture de l'emballage qui méprise le contenu.»

 

 

                                        Sir Anthony Hopkins

 

 

 

 

 

 


21/07/2024
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Intermède graphique/design/dessin, les couloirs avant les réponses

  Brouillon de pensées, brouillon d'homme, robotique. Identité défroissée. Derrière le personnage, des couloirs de symboles.

Reste en lui la signature de ce qu'il a accepté de rencontrer.

 

 

Tout est construit ; il est parfois utile de le dire !

Et oui, cela n'empêche pas que j'aime beaucoup les points virgules Rigolant

Brouillon de pensées, brouillon d'homme, identité défroissée. Empreinte sur regard. Bip.

 

 

 

 

 

 

 

 

    

 

 

 

 

 

 

 Je savais bien que je ferais quelque chose de cette ampoule ! Rigolant  Décorée de ce ruban doré (ça, ce n'est pas fictif), elle servira de déco, je ne sais pas où encore !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


06/07/2024
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Où tout bascule pour rester droit

 

 

 

 

 

 

 

A force de ces yeux traversés

Sous peine de croiser ces cécités

et ces portables obnubilant

Où l’on a tout à raconter, tant à rire

J’ai eu ce besoin de l’éperonner

Ce si conté, ce précieux ''ici et maintenant''.

 

Je perchais mes yeux sur ces cheminées

Appelant au secours mes idées nomades

Mais il se dérobe, comme accidenté

Je le vois victime, la ligne est brouillée

On parle trop fort comme pour l’écraser

A coup de vitesse, à coup de futur bousculé

Abruti de klaxons et de lèvres pincées.

Un bradyséisme sur une terre de pas pressés

Notre présent saigne de ne pas être ici.

 

 

A force de ce quotidien d’épaules cognées

De coquards d’âme, d’idées sèches

J’ai poussé la porte, j’ai regardé

Leur gaité déréglée, leurs tristesses trop vieille

Leurs regards dans le mien, le mien dans le leur

Je me suis arrêté où l’on crie ou bavarde

Mais où on le fait ensemble

J’ai trouvé où inviter le temps, où le laisser faire

Se laisser calmer, nous laisser comprendre

J’ai appelé le barman, un verre, puis deux

Faute de me voir et de m'évaluer, je les regarde

Des profils sans noms d’hommes cassés

De l’un à l’autre, ces estropiés sans bateau

 

Rencontrer le temps, là où tout semble fait pour l’oublier

Quel monde étrange où l’on bascule pour rester droit

Comme des débutants eux et moi refaisons le monde

Mais il scintille maintenant, sans talon, ni moteur

Sans les injures des pressés et leurs dépressions cachées

La Cité est loin, l’ici est là et l’instant s’installent

Ce soir et cette nuit, nous vivons ad libitum

 

 

 

La sollicitude est mendiée en silence.

La rue, ce bus, sont pleins de solitudes.

Cette abondance de manques m'ébranle comme toujours.

Je regarde ailleurs pour respirer. Je sais que je n'oublierai pas.

Le dos tourné à l'abondance de riens pluriels,

Comme s'il fallait avoir honte. De quoi au fait ?

 

                                                     Corine

 

 

 


29/06/2024
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Eleor

 

 

Je ne suis pas ce qui sort, je cherche à retrouver et retrouve (!), mais regarde aussi ce que je ne connais pas, laisse (beaucoup) de côté, ou choisis par intuition et peux tomber sur ce à quoi je ne m'attends pas.

 

 

 

Ce titre n'est pas n'est pas d'une gaité endiablée, mais pas si triste tant il est constitué de ce qui nous ressemble et nous compose, chaleureusement lié d'humanité.

 

 

Une des merveilles de Dominique A. un auteur interprète que je n'ai entendu qu'il y a quelques semaines et pour cette chanson, aujourd'hui !  

 

Je n'en dis pas plus : 

 


14/06/2024
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