Mi(s)ScellaneaCorine

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La coquille : introduction/précautions et je vous sers la suite !

 

 

Alors voilà, je vous dis tout.

J'ai fait une rencontre dans ma petite tête avec un jeu de mots. Probablement pas la première fois, je ne me souviens pas, mais cette fois-ci, je me suis jetée sur mes notes et j'ai développé. Au bout d'un petit moment, quoi de moins étonnant, je me suis retrouvée avec une page rebondie. Rebondie pour une page. Bien en chair.

 

J'ai laissé reposer. Pas de pot : en revenant sur mon PC, prise d'un doute (je devrais me refuser aux doutes, ils ne me valent rien) j'ai clairement lu que le sujet avait été débattu. Il fallait s'y attendre, depuis le temps que les deux mots existent ! Comble de la poisse : traité par Boris Vian ! La calamité ! Si le lire m'a parfois donné des migraines, Vian, pour peu que je le connaisse, m'est époustoufflant. Je crois qu'il ne savait faire que ça, être génial (j'ai lu qu'il avait connu des échecs et je ne sais comment c'est pensable).

 

 

 

Alors bon qu'est-ce que je fais moi, maintenant, avec ma coquille toute chaude fait main ?

 

 

 

Non parce que déjà.... pas plus tard que l'autre jour, j'ai eu vent, bien après la parution de ma névrose divine, ma névrose à moi, (elle est à moi, ma névrose LOL !*) d'un titre de livre déjà paru traitant de Dieu et de la psychanalyse. Dont l'auteur est..... ah quand même. Au vu du titre, ma mitrale en est restée bouche bée !!!!! Ta tan ta-tan ta-tan ! Avant de reprendre ses esprits, ses fonctions et sa musique routinière : rien à voir. Je ne vois pas comment il y aurait eu aucun point commun dans le traitement, mais vous savez, la surprise ne vous laisse pas toujours le temps de réfléchir. J'aurais eu l'air fine, même en tout petit comité sur un blog. Pour le coup, ç'aurait été la honte ! « Qu'est-ce que tu fais, Corine, en ce moment ? ». « Oh moi, rien, je tente de tâcher d'essayer de copier par-dessus le bras de M. Cyrulnik !». C'est cela, oui ! J'ai lu un court article. Non, rien à voir (et puis lui, il voit large, il voit Dieu dans toutes les religions. Et puis lui, il a pris ça en super intello. Et puis lui, c'est l'Homme, qu'il met au centre du sujet et celui de la religion en secours - les raisons, les questions.

Normal. S'il est aimable, Monsieur Boris Cyrulnik n'a rien d'un clown). Tout va bien.

N'empêche que... Je ne sais pas ce que j'ai fait aux Boris pour aller me contrarier mes titres !

Rigolant

(sans compter que ce n'est pas le prénom, en France, le plus courant. Deux Boris, deux incontournables).  

 

 

Bon, ma coquille dans tout ça... Cette fois, j'ai l'info du déjà pris/déjà abouti, avant de m'y frotter. Mais voilà, elle est faite, j'ai aimé la construire ; elle s'est laissé gentiment faire. J'ai pris plaisir à jouer en riant avec deux mots qui en deviennent de petits personnages.

Je ne me résignerai pas comme ça. D'habitude quand c'est dit, je baisse les bras et sors du propos.

 

Vian, c'est l'Elbrouz. Et sa coquille, elle est lisible, accessible. Ben, justement je ne lis pas. Je fonce. Je veux pas savoir si c'est une chanson ou un texte. Tant pis, après tout, ce n'est pas de ma faute. Je verrai tout ça l'année prochaine. 

A ce régime-là, on ne ferait plus rien. Il y a eu des guitaristes après Hendrix. 

 

 

 

A suivre sous peu, sans délai, de façon imminente, ma version à moi que je laisse telle qu'elle. Je vous le dis tout de suite : c'est assez court, ça n'a rien de littéraire et ce n'est pas le but ! Clin d'œil

 

 

 

                                                                                                             Corine  

 

 

 "la névrose divine", un des articles précédents de ce blog. 



20/12/2017
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