Mi(s)ScellaneaCorine

Mi(s)ScellaneaCorine

Ps : les mots troublés + sourire/ironie sur le "pathos"

 

 

(Pour rire, c'est plus bas

 

 

Pourtant un "texte" qui n'en est pas un dans le dernier billet. 

Mais quel bazar dans le propos ! Déçu C'est d'autant plus dommage quand cela tient à cœur. 

Quelques copier/collers, quelques retouches et ça va déjà mieux.

 

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Finalement TRES retouché dans son dernier tiers (après plusieurs jours, beaucoup de doutes sur le bien-fondé de la chose puis, bon, pourquoi pas. Ca ne sera jamais exhaustif, ç'en est loin). Le bouchon s'est un peu décoincé dans la bouteille, même si cela n'importe qu'à moi. 

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Je ne sais pas toujours parler des êtres que j'affectionne particulièrement. Des fois oui ! Cela peut être tout et son contraire. Quand cela s'accompagne de ce qui reste une sidération, visiblement, j'ai beaucoup de mal. Les mots viennent à reculons et se bousculent. La focalisation les déconcentre. 

Même le titre était loupé ! (je n'ai pas refait bien compliqué). 

 

Je voulais mettre le lien tout nu.

Il m'a semblé qu'il était mieux d'inciter à le suivre de façon légèrement argumentée.

J'aurais trouvé une version sous-titrée en français, je l'aurais mise. La pièce n'est même pas disponible en vente. Etonnant.

 

 

Je me doute bien que je ne parais pas bien impartiale, mais j'ai la certitude absolue que, aurais-je été ignorante de l'existence de cet artiste, le seul visionnage de ces extraits m'aurait rendue admirative de la même façon, aussi haut perchée (!) que la première fois que j'ai écouté ses notes.  

 

 

 

Je sais très bien malgré tout que beaucoup ne s'arrêteront pas. Si l'on excepte la langue, la qualité de l'image peut avoir un côté rébarbatif. Ce sont peu de choses et c'est se priver de moments de grâce. 

Peut-être aussi l'histoire ? Trop connue ? Ou le "pathos" ?

 

 

"Verser dans le pathos". Une des pires critiques que l'on puisse faire.  

 

Exemple rabâché : "ce film a versé dans le pathos". Ca sent le Bergman sans la caution intellectuelle. Sous-entendu : allez-y si vous n'avez rien d'autre à faire, à reculons, aidés de 3 poches de corn flakes pour faciliter sa digestion (à mâcher sans bruit).Rigolant
 

Je ne saisis pas toujours toutInnocentNous qui sommes dans l'empathie, donc, à tout bout de phrase (hein, hein, hein ?) ben nous, les mêmes, on ne survivrait pas à un verre de pathos ? De temps en temps ? 

D'ailleurs on dit bien verser, on ne dit pas couler ! Où est le danger ? 

 

 

 

Fait divers de dernière minute : règlement de compte. Un individu dont l'identité est encore inconnue a été retrouvé par la police de Mar... lle. Aucune trace de balle, ni de signe de torture n'ont été relevés sur le corps. Une enquête a cependant été ouverte. L'expression torturée de la victime laisse peser le doute sur un décès qui manque de naturel. D'après les renseignements de quelques balances non autorisées du "Milieu", un procédé mafieux serait en cours d'élaboration. L'homme aurait été froidement coulé dans le pathos précontraint. Nous conviendrons que cela glace l'échine. Un procédé cruel qui met en outre les professionnels du ciment (et du béton) dans une situation délicate. Après traitement des éléments, le dossier sera transmis au plus haut grade de l'état. Près de 5 millions de petits chômeurs. 

Et moi, et moi et moi. 

 

 

Pardon.  

 

Mais "Elephant man" ne verse pas dans le pathos. 

J'en reviens au point de départ de cette page.

C'est trop beau pour ne pas tenter de ne pas le garder pour soi. Et paradoxalement, tellement précieux que ce n'est pas si évident à partager et d'accepter que ce que l'on aime ne le soit pas, ou pas autant. 

C'est la vie. 

Après tout, je n'ai pas été en deuil pour notre idole nationale. Ca m'a juste fait de la peine pour lui et je dois dire familièrement que ça m'a fait "drôle". Je ne me le représentais pas non plus partant comme ça (j'ai laissé le lien qui menait à cette chanson de lui que j'aime beaucoup).  

 

 

 

 

Une question d'univers.  

Tout démarre par une évidence. On choisit le pilote, on attache sa ceinture et on voyage tout autour de lui, tout autour de nous. 

 

 

                                                                                  Corine 

 

 

 



10/01/2018
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